Le stockage de l’électricité est, à terme, un point clé pour valoriser les énergies renouvelables intermittentes, photovoltaïque comme éolien. Mais cette question ne devrait se poser qu’à l’horizon 2035. D’ici là, notre réseau national, relié à celui de nos voisins européens, permet de réguler ces apports de sources différentes.
C’est l’une des conclusions d’Angèle Préville, sénatrice du Lot, invitée par CéléWatt, le Grand Figeac et Quercy Énergies, à présenter son travail pour l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques.
La sénatrice poursuivait en décrivant les différentes formes de stockage actuelles et celles qui sont à l’étude dans le contexte d’un essor des énergies renouvelables et de la mobilité électrique.
Du riche débat qui a suivi, on retiendra deux pratiques vertueuses avant même le stockage : la sobriété énergétique et un choix judicieux du moment pour utiliser nos appareils électriques (en journée s’il s’agit de consommer de l’électricité photovoltaïque).
Retrouver l’intégralité du débat dans cette vidéo de la jeune webtélé Doc/d’oc Figeac