C’est l’initiative des Assises du climat qui nous le rappelle. Les émissions directes des ménages, chauffage et déplacements notamment, représentent moins de 20 % de notre empreinte écologique. L’essentiel vient de biens et services achetés hors d’Europe, transformés en produits finis puis vendus ici.
Les bénéficiaires finaux, nous les « ménages », avons donc un rôle en reconsidérant nos besoins et nos approvisionnements.
Ainsi, d’un mode d’agriculture à un autre, c’est un facteur de 1 à 10 qui est en cause en terme de réchauffement.
Voilà pourquoi à CéléWatt nous aimons bien associer l’idée d’une énergie renouvelable, locale et citoyenne à une agriculture biologique, locale et paysanne. Utiliser des poteaux en chênes du causse en remplacement de supports en acier « globe trotter » et produire sur de petits parcs à l’échelle de nos communes rurales pour limiter, là où c’est possible, les 7 à 10 % de kWh perdus lors de transports à longue distance.