Ressources quasi inépuisables, très faibles émissions de CO2, très peu de déchets, disponibilité dans tous les pays… on connaît les qualités des énergies renouvelables, d’autant plus si elles sont développées par des communautés citoyennes locales. Mais il en est une autre que la tragédie en Ukraine souligne dramatiquement : la non-dépendance de régimes autocratiques.
Il faut, certes, importer des minerais ou des composants pour créer des parcs solaires ou éoliens mais une fois en place, ces installations fonctionnent seules pendant des décennies. Pas de gaz à importer de Russie, d’uranium du Kazakhstan ou de pétrole d’Arabie saoudite. Pas non plus d’uranium de retraitement (URT) issu de nos centrales nucléaires à envoyer en Sibérie.
Plus que jamais, solidarité internationale et énergies citoyennes vont de pair.