C’est l’idée mise en avant par certains pour s’opposer aux parcs au sol . Outre qu’il s’agit d’une posture générale alors que chaque cas est à étudier avec ses caractéristiques propres (nature du terrain, implantation des panneaux, gestion du site en exploitation…), le site Décrypter l’énergie publie une synthèse éclairante.
La perte de sols agricoles, c’est 80 000 ha chaque année en France, consommés par l’urbanisation, les infrastructures ou l’embroussaillement. A comparer aux 500 ha aujourd’hui couverts par des panneaux solaires et à une estimation totale de l’ordre de 35 000 ha à horizon 2030.
A CéléWatt, nous développons des petits parcs au sol avec le souci de conserver, voire de réinstaller, une activité agricole sur les terrains où nous implantons les supports ; les points bas des panneaux sont fixés de façon à toujours permettre le passage des brebis ou le fauchage.