Au fil du temps, la poussière (pollution, pollen, sable apporté par les vents du sud…) s’accumule sur les panneaux solaires et réduit leur efficacité. Laver les panneaux est donc indispensable pour maintenir leur pleine productivité.
Mais ce lavage a un coût, à comparer au sursaut de production qu’il génère. On ne lave donc pas aussi fréquemment un parc qui vend le kWh à 7 ou 10 c€ qu’une installation en toiture, qui avait souscrit un contrat d’obligation d’achat à 30 c€.
Depuis 4 ans, l’équipe CéléWatt guettait donc la performance du parc de Brengues… et l’encrassement des panneaux. Ce printemps, après 5 ans de production, l’évidence était là, il fallait investir dans un bon lavage.
C’est l’équipe spécialisée Photovoltaïque Fermes de Figeac qui a réalisé l’opération en début d’été, avec un robot adapté.
Nous surveillons maintenant les courbes de production mensuelles pour les comparer avec le productible attendu pour évaluer « l’effet lavage »… et estimer quand sera venu l’optimum économique pour laver les panneaux de Carayac.